"Malgré toutes les menées, et il y en a eu beaucoup, malgré les intrigues de Washington et de Londres, qui ont fait feu de tout bois durant plusieurs mois pour perturber le sommet des BRICS, malgré les tentatives de l'Élysée d'interférer, de s'impliquer et d'empêcher différents pays ayant de vraies économies et non pas des monnaies en carton et dont les habitants laborieux créent des produits concrets, de se réunir et de discuter de la manière de protéger la planète contre de nouvelles machinations, toutes ces menées n'ont pas abouti et n’aboutiront pas", a-t-elle avancé sur la chaîne de télévision russe Pervyi kanal.
Un facteur dégrisant
"À mon avis, l’accord céréalier et ce qu’en ont fait les États-Unis, Bruxelles, etc., a été un facteur important qui a aidé le monde à se dégriser. L’aventure menée sous le slogan d’aide aux pays les plus pauvres, au premier chef à l’Afrique, qui a commencé en été 2022 et qui a eu pour seul effet l’enrichissement des sociétés occidentales, a été un facteur important qui a permis à de nombreux pays sur des continents différents de mieux comprendre ce qui s’était passé au cours de ces 18 mois et qui se trouvait au cœur du problème."