"La Russie est un État comme les autres, on est déjà en partenariat comme vous pouvez le constater. Même dans notre armée, nous utilisons beaucoup de matériels russes. Donc, c’est déjà un partenaire pour le Burkina Faso", a-t-il soutenu.
"Discuter des termes du partenariat"
"S'il y a une ambassade ici, c’est qu’on est déjà partenaires", a-t-il tranché en ajoutant: "La France même est en train de changer les termes de ses partenariats avec beaucoup de nations. Nous voulons aussi discuter des termes du partenariat avec la France. Il y a des choses à améliorer, et peut-être qu’il y a des choses à abandonner, mais tout ce qui peut être amélioré doit être fait".
Le futur du pays
"On souhaite que le retour à l’ordre constitutionnel normal soit même avant cette date, si la situation le présage. Donc, notre souhait, c’est que ça puisse se faire avant 2024", a-t-il fait savoir.
"Nous condamnons ces dérives de la foule. Avec la communication, je pense que ça rentre dans l’ordre".