Depuis la fermeture du camp d'accueil de la gare de Vintimille au printemps 2016, la petite cité frontalière est au bord du chaos, car fermer le camp n'a pas empêché les réfugiés, pour la plupart des Soudanais et des Erythréens, de se masser ici dans l'espoir de passer en France.