Dans son discours lors de la cérémonie d’ouverture, Bassolma Bazié a transmis les salutations "chaleureuses et fraternelles" d’Ibrahim Traoré, du gouvernement et du peuple burkinabè à ses hôtes.
Le ministre a souligné que sa présence attestait de la "collaboration fraternelle entre les deux peuples", relatent les médias.
Dans un monde en pleine mutation et en crise, garder des relations audacieuses, sincères et humaines est une tâche pénible, a-t-il ajouté.
Faire face à la crise provoquée par les capitalistes
Le pays va défendre la souveraineté "non négociable" quitte à en "payer le prix nécessaire", a assuré M.Bazié, tout en mettant en relief les origines occidentales de la crise.
"En effet, le Burkina Faso, Pays des Hommes intègres, situé au cœur de l’Afrique de l’Ouest connaît des difficultés essentiellement liées à cette crise terroriste fabriquée de toute pièce par la rapacité capitaliste dans le monde, afin d’y imposer misère, douleurs et désorientation pour mieux piller ses richesses. Il en est de même pour ses pays frères limitrophes que sont le Mali et le Niger", a-t-il soutenu.