https://fr.sputniknews.africa/20231110/un-officier-francais-aurait-commande-un-groupe-de-sabotage-ukrainien-1063443961.html
Un officier français aurait commandé un groupe de sabotage ukrainien
Un officier français aurait commandé un groupe de sabotage ukrainien
Sputnik Afrique
Un groupe de sabotage ukrainien éliminé par les forces spéciales russes pourrait avoir été commandé par un officier français, a confié à Sputnik un membre de... 10.11.2023, Sputnik Afrique
2023-11-10T07:40+0100
2023-11-10T07:40+0100
2023-11-10T07:40+0100
donbass. opération russe
ukraine
saboteur
officiers
français
mercenaires
paramilitaires
https://cdn1.img.sputniknews.africa/img/07e7/03/12/1058230841_0:0:3072:1728_1920x0_80_0_0_6bdee8ea1ac0ca4bab69db130b41df66.jpg
Un membre de la brigade de reconnaissance Dniepr suppose qu’un groupe de sabotage ukrainien aurait pu être commandé par un officier français.Selon lui, cet officier aurait pu commander un groupe de sabotage. Cependant l’information ne peut pas être vérifiée, car tous les membres du groupe ont été éliminés pendant le combat.Des mercenaires de 35 paysLe directeur du Service fédéral de sécurité (FSB) Alexandre Bortnikov avait précédemment annoncé que les membres de 13 sociétés militaires privées européennes et de 9 unités paramilitaires étrangères participaient aux combats du côté ukrainien. Moscou a recensé au total près de 800 mercenaires de 35 pays.La Défense russe affirme que le régime de Kiev utilise des mercenaires étrangers en tant que chair à canon et les militaires russes continuent de les exterminer sur l’ensemble du territoire ukrainien.Ces étrangers qui sont venus pour faire la guerre ont avoué dans des interviews que les militaires ukrainiens coordonnaient mal leurs actions et qu’il y avait peu de chances de survivre, car l’intensité du conflit était incomparable à ce qu’ils avaient connu en Afghanistan ou au Proche-Orient.
ukraine
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rossiya Segodnya“
2023
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rossiya Segodnya“
Actus
fr_FR
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rossiya Segodnya“
https://cdn1.img.sputniknews.africa/img/07e7/03/12/1058230841_227:0:2958:2048_1920x0_80_0_0_9f780531fbf12b1ab773c09919e5adf9.jpgSputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rossiya Segodnya“
ukraine, saboteur, officiers, français, mercenaires, paramilitaires
ukraine, saboteur, officiers, français, mercenaires, paramilitaires
Un officier français aurait commandé un groupe de sabotage ukrainien
Un groupe de sabotage ukrainien éliminé par les forces spéciales russes pourrait avoir été commandé par un officier français, a confié à Sputnik un membre de la brigade de reconnaissance russe Dniepr. "Avant de mourir, il a parlé français."
Un membre de la brigade de reconnaissance Dniepr suppose qu’un groupe de sabotage ukrainien aurait pu être commandé par
un officier français.
"Une fois j’ai vu un Français… C’était des saboteurs. Il était saboteur et faisait partie d’un groupe de sabotage. En mourant, il a parlé français. C’était probablement un officier", a raconté le militaire à Sputnik.
Selon lui, cet officier aurait pu commander un groupe de sabotage. Cependant l’information ne peut pas être vérifiée, car tous les membres du groupe ont été éliminés pendant le combat.
Des mercenaires de 35 pays
Le directeur du Service fédéral de sécurité (FSB) Alexandre Bortnikov avait précédemment annoncé que les membres de 13 sociétés militaires privées européennes et de 9 unités paramilitaires étrangères participaient aux combats du côté ukrainien. Moscou a recensé au total près de 800 mercenaires de 35 pays.
La Défense russe affirme que le régime de Kiev utilise
des mercenaires étrangers en tant que chair à canon et les militaires russes continuent de les exterminer sur l’ensemble du territoire ukrainien.
Ces étrangers qui sont venus pour faire la guerre ont avoué dans des interviews que les militaires ukrainiens coordonnaient mal leurs actions et qu’il y avait peu de chances de survivre, car
l’intensité du conflit était incomparable à ce qu’ils avaient connu en Afghanistan ou au Proche-Orient.