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Un centre médical ciblé près de Khartoum, au moins 9 victimes
Un centre médical ciblé près de Khartoum, au moins 9 victimes
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Au moins neuf civils ont été tués et 15 autres blessés suite à une frappe sur un centre médical à proximité d’une mosquée près de Khartoum, selon l’armée... 05.10.2023, Sputnik Afrique
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Les forces de soutien rapide (FSR) ont frappé un centre médical près de Khartoum, a déclaré l’armée soudanaise.Neuf civils tués et 15 blessés, selon Nabil Abdallah, porte-parole des forces armées du Soudan. Le centre médical est situé près d’une mosquée dans la ville de Bahri, au nord de Khartoum.Le bilan de la frappe s’aggrave de plus en plus, d’après le journal Sudan Tribune. Selon les témoins, relayés par le média, au moins 20 civils sont morts.Conflit arméLes combats entre l'armée, dirigée par le général Abdel Fattah al-Burhane, et les Forces de soutien rapide (FSR) de son ancien adjoint, le général Mohamed Hamdan Daglo, font rage depuis le 15 avril.Plusieurs trêves ont depuis été annoncées, sans être pleinement respectées. Les parties échangent régulièrement par des déclarations contradictoires sur leurs succès respectifs de leurs opérations militaires et sur le contrôle des installations.Au total, c’est plus de 4.000 personnes qui ont été tuées au Soudan, selon le Haut-Commissariat des Nations Unies. Des millions ont été contraints de fuir. Des mois de combats supplémentaires pourraient entraîner des épidémies et un effondrement du système de santé, alerte le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).
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Un centre médical ciblé près de Khartoum, au moins 9 victimes
Au moins neuf civils ont été tués et 15 autres blessés suite à une frappe sur un centre médical à proximité d’une mosquée près de Khartoum, selon l’armée soudanaise qui impute l’attaque aux Forces de soutien rapide (FSR). Le conflit armé au Soudan entre l’armée et les paramilitaires dure depuis presque 6 mois.
Les forces de soutien rapide (FSR) ont frappé un centre médical près de Khartoum, a déclaré l’armée soudanaise.
Neuf civils tués et 15 blessés, selon Nabil Abdallah, porte-parole des forces armées du Soudan. Le centre médical est situé près d’une mosquée dans la ville de Bahri, au nord de Khartoum.
Le bilan de la frappe s’aggrave de plus en plus, d’après le journal Sudan Tribune. Selon les témoins, relayés par le média, au moins 20 civils sont morts.
Les combats entre l'armée, dirigée par le général Abdel Fattah al-Burhane, et les Forces de soutien rapide (FSR) de son ancien adjoint, le général Mohamed Hamdan Daglo, font rage depuis le 15 avril.
Plusieurs trêves ont depuis été annoncées, sans être pleinement respectées. Les parties échangent régulièrement par des déclarations contradictoires sur leurs succès respectifs de leurs opérations militaires et sur le contrôle des installations.
Au total, c’est plus de 4.000 personnes qui ont été tuées au Soudan, selon le Haut-Commissariat des Nations Unies. Des millions ont été
contraints de fuir. Des mois de combats supplémentaires pourraient entraîner des épidémies et un effondrement du système de santé, alerte le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).