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"Farfelu et purement absurde": Pékin dément ses cyberattaques contre Nairobi
"Farfelu et purement absurde": Pékin dément ses cyberattaques contre Nairobi
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Mettant en valeur les bonnes relations avec le Kenya, la Chine a nié avoir mené des cyberattaques contre cet État d’Afrique de l’Est. Pékin en avait été accusé... 25.05.2023, Sputnik Afrique
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L'ambassade de Chine au Kenya a démenti des informations de l'agence de presse Reuters selon lesquelles des hackers chinois auraient attaqué des organes d'État clés, dont la présidence, dans la capitale, Nairobi.Reuters s’est référé à trois sources, à des rapports de recherche sur la cybersécurité et à sa propre analyse des données techniques liées au piratage.Selon ces informations, les cyberattaques ont commencé en 2019 et ont visé des renseignements sur la dette kényane à Pékin. Mais l'ambassade de Chine a déclaré que le dossier était "farfelu et purement absurde".Et de mettre en relief les liens sino-kényans basés sur le respect mutuel:"La Chine et le Kenya sont de bons amis, de bons partenaires et de bons frères"."Une campagne de désinformation collective"La porte-parole de la diplomatie chinoise a pour sa part dénoncé le rapport de la National Security Agency (NSA) des États-Unis selon lequel les hackers chinois ont attaqué un réseau informatique d'infrastructures américaines sensibles. Pour Mao Ning, cela relève de la désinformation.C’est un "rapport extrêmement peu professionnel -un patchwork avec une chaîne de preuves brisée". Et de pointer du doigt le fait que la NSA et les agences de cybersécurité des États-Unis, du Royaume-Uni, d'Australie, du Canada et de Nouvelle-Zélande ont publié presque simultanément des rapports similaires."Apparemment, il s'agit d'une campagne de désinformation collective lancée par les États-Unis à travers les Five Eyes pour servir son agenda géopolitique", a conclu la diplomate.
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"Farfelu et purement absurde": Pékin dément ses cyberattaques contre Nairobi
Mettant en valeur les bonnes relations avec le Kenya, la Chine a nié avoir mené des cyberattaques contre cet État d’Afrique de l’Est. Pékin en avait été accusé dans un rapport de Reuters.
L'ambassade de Chine
au Kenya a démenti des informations de l'agence de presse Reuters selon lesquelles des hackers chinois auraient attaqué des organes d'État clés, dont la présidence, dans la capitale, Nairobi.
Reuters s’est référé à trois sources, à des rapports de recherche sur la cybersécurité et à sa propre analyse des données techniques liées au piratage.
Selon ces informations, les cyberattaques ont commencé en 2019 et ont visé des renseignements sur la dette kényane à Pékin. Mais l'ambassade de Chine a déclaré que le dossier était "farfelu et purement absurde".
"Le piratage est une menace commune à tous les pays et la Chine est également victime de cyberattaques", a ajouté la mission diplomatique dans un communiqué publié le 24 mai.
Et de mettre en relief les liens sino-kényans basés sur le respect mutuel:
"La Chine et le Kenya sont de bons amis, de bons partenaires et de bons frères".
"Une campagne de désinformation collective"
La porte-parole de la diplomatie chinoise a pour sa part dénoncé le rapport de la National Security Agency (NSA) des États-Unis selon lequel les hackers chinois ont attaqué un réseau informatique d'infrastructures américaines sensibles. Pour Mao Ning, cela relève de la désinformation.
C’est un "rapport extrêmement peu professionnel -un patchwork avec une chaîne de preuves brisée". Et de pointer du doigt le fait que la NSA et les agences de cybersécurité des États-Unis, du Royaume-Uni, d'Australie, du Canada et de Nouvelle-Zélande ont publié presque simultanément des rapports similaires.
"Apparemment, il s'agit d'une campagne de désinformation collective lancée par les États-Unis à travers les Five Eyes pour servir son agenda géopolitique", a conclu la diplomate.