Kiev envoie en 24 heures 157 projectiles sur les civils de la République populaire de Donetsk

Florian Philippot, homme politique français, président du parti Les Patriotes, a critiqué le Président ukrainien pour son refus de négocier la paix avec la Russie.

Les forces armées russes ont porté en Ukraine une frappe de missiles massive sur des éléments de commandement militaire, du complexe militaro-industriel et les ouvrages énergétiques qui les alimentaient.

Ce bombardement, réalisé à l'aide d'armes de haute précision, a permis de saper un transfert d'armes et de munitions étrangères ainsi que d'empêcher des réservistes ukrainiens d'avancer vers la zone des hostilités, a annoncé ce samedi la Défense russe.

Dans une interview au quotidien Süddeutsche Zeitung, le chancelier allemand a souligné l'importance de ne pas laisser se rompre le fil des pourparlers avec le chef de l'État russe. Selon lui, l'objectif est que la Russie mette fin à la guerre en Ukraine et que celle-ci défende son intégrité. Pour cela, il est "nécessaire de parler", a-t-il estimé.

Il est censé protéger la centrale des éclats d'obus que l'Ukraine ne cesse de tirer, selon Vladimir Rogov, membre du conseil d'administration de la région. Le dôme couvrira le dépôt de déchets radioactifs.

La Direction spirituelle des musulmans d'Ukraine (DSMU), contrôlée par le Service de sécurité d'Ukraine (SBU) et financée par Kiev, est toujours active en Crimée. C'est ce qu'a affirmé à Sputnik le chef adjoint de la Direction spirituelle des musulmans de Crimée (DSMC), Aïder Ismaïlov.

Des documents secrets laissés par le SBU et saisis par la Russie dans la région de Kherson ont révélé que Kiev avait créé un réseau d'agents issus de "sectaires islamiques", à savoir des adeptes d'une association islamique qui adoptent des pratiques inspirées du soufisme, les habashites. Kiev voudrait ainsi contrôler la communauté des Tatars de Crimée, en ont conclu les enquêteurs. Un Ukrainien d'origine libanaise y aurait joué un rôle important.

Selon M.Ismaïlov, les activités de ces militants n'ont pas cessé après le rattachement de la Crimée à la Russie en 2014. La DSMU aurait été rebaptisée Direction spirituelle centrale ou Muftiat (entité territoriale administrative sous la tutelle d'un mufti) de Tauride.