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Terrorisme en Afrique de l’ouest et au Sahel: la CEDEAO demande plus d’aide internationale
Terrorisme en Afrique de l’ouest et au Sahel: la CEDEAO demande plus d’aide internationale
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Le terrorisme qui sévit en Afrique de l’ouest et au Sahel, représente une menace pour la sécurité internationale. Ces régions demandent donc à la communauté... 24.09.2022, Sputnik Afrique
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La communauté internationale a été appelée à s’impliquer davantage dans la lutte contre le terrorisme en Afrique de l’ouest et au Sahel, a déclaré ce samedi 24 septembre le président de la CEDEAO et de la Guinée-Bissau.Il a rappelé qu’une grande partie du continent africain et surtout le côté occidental étaient menacés par le terrorisme, l’extrémisme violent et la criminalité transnationale.Une menace mondialeCes dernières années, le niveau du terrorisme ne cesse de croître dans cette région malgré plusieurs missions militaires internationales dont l’opération française Barkhane. La France a par ailleurs dû se retirer du Mali vers le Niger, après huit ans de présence, sur fond d’accusations de Bamako de contribuer à la prolifération du terrorisme au pays.En mai, le secrétaire général de l’Onu a fait part de la hausse d’attaques terroristes dans le Sahel. Il a précisé qu’il ne s’agissait pas d’un problème régional mais d’une menace pour le monde entier. Antonio Guterres a réitéré ses propos lors de l’Assemblée générale, tout en faisant valoir une "urgence" et "une situation humanitaire déjà catastrophique".En décembre dernier, l'Union africaine et les Nations unies se sont engagées à travailler ensemble, en tandem avec la CEDEAO et le G5 Sahel qui réunit cinq pays du Sahel, pour améliorer l’action globale menée en matière de sécurité, de gouvernance et de développement à travers le Sahel.
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Terrorisme en Afrique de l’ouest et au Sahel: la CEDEAO demande plus d’aide internationale
20:00 24.09.2022 (Mis à jour: 20:08 24.09.2022) Le terrorisme qui sévit en Afrique de l’ouest et au Sahel, représente une menace pour la sécurité internationale. Ces régions demandent donc à la communauté internationale de renforcer son assistance internationale, a déclaré le chef de la CEDEAO (Communauté économique des états de l'Afrique de l'ouest).
La communauté internationale a été appelée à s’impliquer davantage dans la lutte
contre le terrorisme en Afrique de l’ouest et au Sahel, a déclaré ce samedi 24 septembre le président de la CEDEAO et de la Guinée-Bissau.
"Nous avons besoin d’une assistance internationale pour empêcher et arrêter l’avancée du terrorisme en Afrique de l’ouest et dans la région du Sahel dans son ensemble. Le terrorisme constitue une menace pour la paix et la sécurité internationale et afin de lutter contre celui-ci, avec efficacité, nous devons impliquer la communauté internationale dans son ensemble et les Nations unies en particulier", a lancé Umaro Sissoco Embaló, à la tribune de la 77e Assemblée générale de l’Onu à New York.
Il a rappelé qu’une grande partie du continent africain et surtout le côté occidental étaient menacés par le terrorisme, l’extrémisme violent et la criminalité transnationale.
Et d’ajouter: "Nous avons besoin de la paix, afin de garantir le développement, et le bien être de notre peuple".
Ces dernières années, le niveau du terrorisme ne cesse de croître dans cette région malgré plusieurs missions militaires internationales dont l’opération française Barkhane. La France a par ailleurs dû se retirer du Mali
vers le Niger, après huit ans de présence, sur fond
d’accusations de Bamako de contribuer à la prolifération du terrorisme au pays.
En mai, le secrétaire général de l’Onu a fait part de la hausse d’attaques terroristes dans le Sahel. Il a précisé qu’il ne s’agissait pas d’un problème régional mais d’une menace pour le monde entier. Antonio Guterres a réitéré ses propos lors de l’Assemblée générale, tout en faisant valoir une "urgence" et "une situation humanitaire déjà catastrophique".
En décembre dernier, l'Union africaine et les Nations unies se sont engagées à travailler ensemble, en tandem avec la CEDEAO et le G5 Sahel qui réunit cinq pays du Sahel, pour améliorer l’action globale menée en matière de sécurité, de gouvernance et de développement à travers le Sahel.