Des gardes-frontière israéliens, qui dépendent de la police, vont également être mobilisés pour aider l'armée, a ajouté le porte-parole, sans donner plus de détails.
Il a en revanche indiqué qu'aucun projet de renfort n'était envisagé dans la partie du plateau du Golan occupée par Israël face à la Syrie, malgré les tensions qui y règnent.
Des 193 pays composant l'Assemblée générale de l'Onu, 128 ont voté fin décembre une résolution condamnant la décision américaine, dont des alliés des États-Unis comme la France et le Royaume-Uni. Seuls sept pays se sont alignés sur Washington.
La décision de Donald Trump a provoqué une vague de protestations dans la plupart des pays musulmans et été désapprouvée par nombre d'ONG internationales, préoccupées par les perspectives de processus de paix au Proche-Orient.