Selon le patron de Facebook Mark Zuckerberg, la Chine et la Russie n'ont pas essayé d'avoir accès aux données des utilisateurs de son réseau social.
«Nous n'avons pas enregistré ce genre d'activité», a-t-il déclaré mercredi devant le Congrès américain en répondant à un élu de l'Ohio.
L'homme a répondu à plusieurs dizaines de membres de la Chambre des représentants.
Cet interrogatoire a lieu suite à une importante fuite de données personnelles de 87 millions d'utilisateurs de Facebook. Il a témoigné devant la Chambre des représentants et le Sénat également lundi et mardi. Dans son discours, il s'est excusé du fait que sa société n'ait pas tout fait pour éviter la fuite et assurer la protection des données personnelles de ses utilisateurs.
Il a également déclaré ne pas avoir suffisamment agi pour empêcher «l'immixtion russe dans les élections». Zuckerberg a promis aux législateurs de faire davantage pour la sécurité et a dit mener des négociations avec des investisseurs pour y aboutir.
La Russie a toujours rejeté les accusations quant à sa prétendue ingérence dans les élections de différents pays, les qualifiant d'absolument infondées.