Mark Zuckerberg contrattaque après une salve de critiques lancée par Donald Trump. Dans un message publié sur Facebook, le fondateur du réseau social a vivement rejeté l'accusation du chef de la Maison-Blanche selon laquelle Facebook était «hostile» à son encontre.
«Trump dit que Facebook est contre lui. La gauche affirme que nous avons aidé Trump. Les deux camps sont mécontents des idées et des contenus qu'ils n'aiment pas», a répondu Mark Zuckerberg sur Facebook, qu'il présente comme une «plateforme pour toutes les idées».
Mark Zuckerberg écrit également que les récentes élections présidentielles étaient les «premières aux États-Unis dans lesquelles Internet a constitué le principal moyen de communication entre les candidats». «Chaque candidat avait son compte Facebook grâce à quoi il était possible de discuter avec un million d'électeurs tous les jours», observe-t-il.
Selon le fondateur de Facebook, les Américains avait la possibilité de discuter de tout ce qui se passait pendant la campagne ou y était lié.
Le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, a déclaré vendredi dernier que le Kremlin n'avait aucun rapport avec la publication de publicité politique sur le réseau social et qu'il ne savait pas qui se tenait derrière ces commandes.