Dans le texte, dont l’agence Sputnik s’est procurée une copie, les représentants de Twitter indiquent avoir examiné les comptes évoqués par la City University de New York et avoir établi que seul 1% de ces comptes était enregistré en Russie.
«Bien que beaucoup de ces pages aient violé le règlement de Twitter relatif au spam, à cette étape nous ne disposons pas de suffisamment de preuves convaincantes qui auraient pu les lier à la Russie ou à l’Internet Research Agency», est-il indiqué. Facebook accuse cette dernière de tentatives d’exercer une influence sur les élections aux États-Unis.
Le comité a réagi au rapport, pointant son insatisfaction partielle et soulignant que le texte suscitait des questions supplémentaires.
Twitter et Facebook ont alors été appelés à fournir des informations. Le rapport de Facebook n’a pas encore été présenté.
En Occident, la Russie a déjà été accusée à maintes reprises de tentatives d’influencer les élections dans différents pays, dont l’Allemagne, les États-Unis et la France. Moscou a rejeté ces allégations, les qualifiant de complètement infondées.