«Au cours des conversations de travail, tout comme dans leur rhétorique publique, les Américains n'excluent rien et disent que toutes les options sont envisagées», a-t-il expliqué.
«Mais de notre côté, nous ne cessons de souligner qu'il s'agit d'un jeu extrêmement dangereux et qu'il est indispensable de faire retomber la pression sans délais et ce, car même les accusations verbales provoquent l'escalade de la situation, sans parler des actions concrètes lorsque des armadas militaires sont dépêchées vers les côtes de la Corée du Nord», a ajouté M.Borissenko.
Dans ce contexte, les États-Unis concentrent leurs forces à proximité immédiate de la Corée du Nord. Ainsi, le sous-marin nucléaire de classe Los
En outre, selon le quotidien sud-coréen Chosun Ilbo, le sous-marin nucléaire américain Michigan (SSGN-727) entrerait dans le port de Busan, en Corée du Sud, d'ici à la fin de la semaine.
Par ailleurs, un groupe d'attaque composé de navires de guerre américains conduit par le porte-avions USS Ronald Reagan sera envoyé dans la péninsule coréenne la semaine prochaine, comme mesure préventive en cas de nouveaux essais de missiles balistiques en Corée du Nord.