«Nous voyons que certains politiciens allemands lors de leurs campagnes électorales donnent ouvertement des ordres aux responsables de l'UE et aux États membres de l'UE. Ils ne savent pas ce qu'est l'UE, et ils croient qu'elle est les "États-Unis d'Allemagne". Ces politiciens ne montrent aucun respect pour les valeurs et les institutions de l'UE, tout comme ils ne le montrent pas non plus à la Turquie. Nous n'acceptons pas de telles déclarations irrespectueuses lancées contre la Turquie», a écrit le ministre.
Bu siyasetçiler AB'nin ne olduğundan habersiz, AB'yi "Almanya Birleşik Devletleri" zannediyorlar.
— Ömer Çelik (@omerrcelik) 4 сентября 2017 г.
Il a ajouté que si les politiciens allemands «étaient sincères dans leurs critiques, ils répondraient positivement à l'appel d'ouvrir les chapitres 23 et 24 [des négociations sur l'adhésion de la Turquie à l'UE, ndlr]. Au lieu d'activer le mécanisme de l'UE, ils essaient d'utiliser l'UE comme instrument de politique de l'Allemagne».
Eğer eleştirilerinde samimi olsalardı 23 ve 24. fasılları açma çağrımıza olumlu karşılık verirlerdi.
— Ömer Çelik (@omerrcelik) 4 сентября 2017 г.
Les relations entre Berlin et Ankara se sont dégradées depuis le coup d'État manqué imputé par Ankara au prédicateur Fethullah Gülen, qui nie les faits. L'Allemagne a fermement condamné les purges d'une ampleur sans précédent lancées par le pouvoir contre les partisans présumés du mouvement Gülen. Ankara accuse pour sa part Berlin de faire preuve d'indulgence envers les «terroristes», en abritant des séparatistes kurdes et des putschistes présumés.