« Naturellement, il ne s’agit en aucun cas de contrainte ni de mécanisme d’actions fixé, c’est un ensemble d’idées, plusieurs options d’idées, des options nécessaires afin d’amorcer le dialogue à ce sujet. Nous voudrions que les Syriens aient entre les mains un projet de constitution au lieu d’armes, un projet qui servira de point de départ pour les discussions », a-t-elle souligné.
Mercredi, certains médias et sites web avaient annoncé, citant des sources anonymes, que les propositions russes sur le projet de constitution excluaient le mot « arabe » du nom officiel du pays, prévoyaient la création d’une autonomie kurde sur le territoire de la Syrie et des droits égaux aux langues arabe et kurde.
« J’ai pris connaissance du texte, c’est un article et un projet de constitution. Je ne peux pas confirmer tous les paragraphes, nous n’en avons pas encore étudié les détails, cela nécessitera beaucoup de temps », a souligné M. Marwah, qui avait participé aux négociations à Astana.
Auparavant, le chef de la délégation russe aux négociations Alexandre Lavrentiev a déclaré avoir remis le projet de la nouvelle constitution du pays aux représentants de l’opposition armée syrienne. La délégation de l’opposition syrienne au sommet d’Astana a pour sa part confirmé sa volonté de travailler sur la nouvelle constitution.
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