Il s'agit notamment de dix Américains, cinq Britanniques, cinq Allemands, un Tchèque, un Danois, un Roumain et un Russe.
« La liste des sportifs dopés inclut non seulement ceux qui ont participé aux Jeux olympiques, mais aussi ceux qui représentent leurs pays à l'étranger », affirment les hackers.
L'AMA a de son côté confirmé que les documents fuités sur la Toile étaient authentiques et qu'ils avaient été obtenus à la suite du piratage du système ADAMS qui enregistre les résultats de tous les contrôles de dopage.
Greetings.
— Fancy Bears' HT (@FancyBears) 14 сентября 2016 г.
We are #FancyBears' hack team.
We go on exposing #doping athletes
https://t.co/9bqTXUwpoY pic.twitter.com/hEjqhoLcVA
Selon le premier lot de révélations faites par le groupe de pirates, l'Agence mondiale antidopage aurait permis aux joueuses de tennis américaines Serena et Venus Williams de prendre des substances interdites, alors que la gymnaste Simone Biles a remporté quatre médailles d'or aux JO de Rio après avoir échoué à un test de dopage.