Selon le groupe de pirates Fancy Bears, qui a publié des documents de l'AMA après avoir piraté l'agence, la championne de tennis et numéro deux mondial Serena Williams a été autorisée à prendre des substances interdites comme l'oxycodone, l'hydromorphone, la prednisone et la méthylprednisolone en 2010, 2014 et 2015.
La sœur de Serena Venus Williams a été quant à elle autorisée à prendre de la prednisone, de la prednisolone et de la triamcinolone entre 2010 et 2013. Les documents ne révèlent pas les diagnostics des athlètes qui ont conduit l'AMA à leur permettre de prendre ces substances.
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— Fancy Bears' HT (@FancyBears) 12 сентября 2016 г.
En outre, la gymnaste américaine Simone Biles, qui a remporté quatre médailles d'or aux Jeux olympiques de Rio 2016, a été contrôlée positive au méthylphénidate en août, sans pour autant être disqualifiée. En 2013 et 2014, elle a également été autorisée à prendre de la dextroamphétamine.
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L'ancienne numéro un mondial, âgée de 29 ans, avait fait l'objet d'un contrôle antidopage positif au meldonium à l'Open d'Australie en janvier 2016. Ce médicament était apparu ce même mois sur la liste des produits prohibés. Elle avait reconnu elle-même, le 7 mars, avoir pris du meldonium.