La nouvelle étude, publiée dans la revue Royal Society Open Science, développe des recherches antérieures qui ont déterminé que le Japon a été régulièrement engagé dans l'abattage illégal de cachalots dans le Pacifique Nord, dans les années 1960. Selon la dernière enquête, le Japon a également falsifié depuis au moins 12 ans des données concernant les captures de cachalots au sud de l'équateur, dont l'impact probable se ferait sentir encore aujourd'hui.
"Nous ne savons pas quel sera l'impact de ces captures sur cet animal à grande longévité et très social", a poursuivi M. Clapham. Ils sont difficiles à étudier car leur habitat occupe un espace très large en mer. Mais les captures ont dû causer des torts irréparables à la population et au système social de l'espèce."