Les observateurs y voient une grande victoire de la compagnie, qui a affirmé à plusieurs reprises que seul un commissionnaire irlandais pour la protection des données était en mesure de régler ces questions. Dans le même temps, le réseau social a accepté de cesser d'utiliser les cookies Datr qui s'installaient dans le navigateur de l'utilisateur quand il visitait des pages Facebook, ou lorsqu'il appuyait sur le bouton "j'aime" ou "partager" sur des sites tiers. Plus tôt, en novembre 2015, le tribunal de Bruxelles avait décrété que Facebook devrait verser aux autorités belges 250 000 dollars par jour si la compagnie ne cessait pas d'espionner les internautes belges.
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