"Pour ce qui est du business, évidemment, nous estimons que c'est un comportement incorrect, car les entreprises doivent décider elles-mêmes, il ne faut pas leur faire de pression. Il y a des sanctions, il y a des choses qui sont codifiés. Et il y a cette atmosphère psychologique, qui n'est pas conforme à l'approche américaine, où il faut quand même séparer la politique et l'économie", a indiqué Grigory Zasypkin, chef adjoint de la section économique de l'ambassade de Russie aux Etats-Unis, lors du forum Doing Business with BRICS tenu à Washington.
Cette année, la participation au SPIEF 2016 est confirmée par le premier ministre italien Matteo Renzi, le vice-chancelier autrichien Reinhold Mitterlehner, le vice-président du conseil des ministres de Cuba Ricardo Cabrisas Ruiz, ainsi que par onze ministres de dix pays et six membres des gouvernements de la Communauté des Etats indépendants (CEI).
En outre, 1.578 représentants des entreprises de la Russie et de 62 autres pays, dont 190 chefs de grandes entreprises étrangères, seront également présents.