"Comme l'a expliqué le rédacteur en chef, elle (la journaliste, ndlr) est tellement âgée qu'elle n'est juste pas habituée à voir passer de fausses informations sur Internet. Aucune mauvaise volonté de sa part. on lui a juste expliqué qu’il fallait qu’elle soit plus attentive et consciente du fait qu’elle pouvait rencontrer des informations fausses, qui sont monnaie courante sur Internet", a déclaré mardi le vice-président du Conseil de Surveillance d'Euronews Piotr Fedorov dans un commentaire à la radio Govorit Moskva.
La veille, la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, avait déploré le dommage porté à la réputation d'Euronews par la publication en question.
"Tout va bien sauf une chose: Sergueï Lavrov n'a pas de compte Twitter", a déclaré Mme Zakharova.
Et d'ajouter, "ce n'est même plus de la propagande, c'est de la désinformation".