Ban Ki-moon, a présenté la liste des 15 pays-débiteurs, parmi lesquels la République dominicaine, Saint-Vincent-et-les-Grenadines, le Burundi, le Bahreïn, la Libye, le Mali et l'Iran.
Plus tard, le porte-parole de l'Assemblée générale Daniel Thomas a précisé que "l'Iran venait de payer" et pouvait désormais participer au vote, annonce samedi l'agence Associated Press.
Le Venezuela, faisant également partie des débiteurs, devrait exercer des fonctions présidentielles. Pourtant, la dette du pays envers l'Onu s'élève actuellement à 3 millions de dollars.
L'Onu n'a cependant pas privé du droit de vote, et cela malgré leurs dettes, certains Etats en proie à des situations politiques et économiques précaires, dont le Yémen, la Somalie, les Comores, la Guinée-Bissau ainsi que Sao Tomé et Principe.
Les autres pays-débiteurs des cotisations annuaires ne peuvent voter aux assemblées qu'en cas d'urgence uniquement.