Dans le cadre du programme de relocalisation des réfugiés, la Pologne devait accueillir 7.000 migrants durant les deux années à venir.
"Les décisions, que nous avons critiquées, du Conseil européen sur la relocalisation des réfugiés et immigrés vers tous les pays de l'UE ont toujours force de droit européen. (Mais) après les événements tragiques de Paris, nous ne voyons pas la possibilité politique de les respecter", a déclaré M. Szymanski sur le site internet de droite wPolityce.pl.
Les attaques dans la capitale française prouvent l’importance de la révision particulière de la politique européenne face à la crise migratoire, a noté M. Szymanski.
Les attaques se sont déroulées dans le contexte de cette crise et des bombardements des positions de l’Etat islamique par l’aviation française, a-t-il précisé.
Selon un récent bilan annoncé par le chef de la République, 127 personnes ont trouvé la mort dans les attaques perpétrées le 13 novembre dans la capitale française.