On pense à tous ces gens, de différents parties du monde et bien évidemment de Russie et d'Europe, qui en fonction de leurs moyens soutiennent la cause qu'ils considèrent à plein titre juste. Collectes de fonds, de nourriture, d'autre aide humanitaire, ainsi que tout simplement le partage et la diffusion de la vérité, sont les caractéristiques de ces personnes, quelle que soit leur nationalité, âge ou appartenance religieuse.
Et il y aussi ceux, qui ont fait le choix de prendre les armes et d'aller combattre aux côtés des hommes et des femmes qui résistent à l'oppression néofasciste. Certains «naïfs» vous diront: «la violence est bien mauvaise». C'est certainement vrai. Mais lorsque vous faites face à une haine maximale violente, ouvertement raciste, qui entend tout simplement vous éliminer et prendre contrôle de vos terres, c'est alors que le choix de la résistance, y compris armée, est plus que justifiée. Et c'est ce choix qu'ont fait les habitants de Novorossia.
A leurs côtés, des volontaires et brigades internationales (mais ne représentant pas plus que 5% des combattants), venus en premier lieu des différentes régions de Russie, pour raisons familiales, fraternelles ou idéologiques. Et d'autres venus d'un grand nombre de pays. Dont de Serbie, d'Espagne, de France, d'Allemagne et même du Brésil. Certains d'entre eux sont politiquement à gauche, d'autres à droite. Mais à la très grande différence des mercenaires étrangers otanesques, combattants aux côtés des bataillons punitifs de Kiev et de Galicie, vous ne trouverez jamais dans les rangs des brigades internationales du Donbass de néonazis enragés, semant ouvertement la haine ethnique et raciale. Vous n'y trouverez pas d'adeptes d'Adolf Hitler et de la peste brune. Et c'est ce qui fait radicalement leur différence.
Mais une chose reste claire: cette UE donneuse de leçons et souffrant vraisemblablement d'Alzheimer a montré une fois encore de quelle côté elle se trouve. Et que la justice dans son interprétation à elle ne vaut vraiment pas grand-chose. Quant à nos résistants antifascistes, nous leurs souhaitons que justice soit faite et qu'ils soient libérés dans les plus brefs délais. Surtout au vu de la mobilisation qu'a suscité leur arrestation aussi bien en Espagne que dans d'autres pays, dont également la Russie. No pasarán!
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