Près de 50 personnes se sont rassemblées sur la place de l'Université de Barcelone pour réclamer la libération de personnes soupçonnées par la police d'avoir combattu en Ukraine. Des meetings similaires se sont déjà déroulés à Bilbao, Madrid et Alicante.
Juan Lopez, membre du Comité catalan de solidarité avec l'Ukraine antifasciste:
"L'Otan vise à établir son contrôle sur les pays limitrophes de la Russie et finance les dissidents le long de la frontière russe!".
"Ces personnes constituent un très bon exemple de l'internationalisme qui est propre à l'histoire des pays qui ont connu des coups d'Etat fascistes. Ces internationalistes espagnols ont décidé de risquer leur vie pour défendre la population civile d'un pays lointain".