Avec la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF), les industries pourront utiliser les matières premières locales et écouler leur production sur le marché intra-africain, explique-t-il.
En plus de booster l'autonomie du continent vis-à-vis des ressources extérieures, cela va "avantager le consommateur africain" grâce à la baisse des prix, poursuit l'expert.
Cela va surtout bénéficier aux petites et moyennes entreprises agroalimentaires qui pourront alors "sortir de l'informel", selon lui.