"La hausse des températures durant la phase de floraison a eu un impact négatif sur le rendement des arbres, y compris dans les zones irriguées", a expliqué Ahmed El Bouari.
La mauvaise récolte devrait entraîner une baisse de la production locale d’huile d’olive, qui devrait atteindre 90.000 tonnes, alors que la consommation annuelle dans le pays se situe entre 130.000 et 140.000 tonnes.
Cela obligera le Maroc à importer le produit. Ainsi, le gouvernement a déjà décidé d’autoriser l’importation de 30.000 tonnes d’huile d’olive vierge et extra-vierge entre 2024 et 2025.