"Cette fois vont-elles exiger la libération de Durov ou avaler leurs langues?", interroge-t-elle.
"Ces ONG occidentales avaient appelé les autorités russes à cesser de créer des obstacles au fonctionnement de Telegram. Elles avaient demandé à l'Onu, au Conseil de l'Europe, à l'OSCE, à l'Union européenne, aux États-Unis et à d'autres gouvernements de s'opposer aux actions de la Russie et de protéger les droits fondamentaux de la liberté d'expression et de la vie privée", a-t-elle précisé.
Et de souligner que Durov est resté en liberté pendant tout ce temps et a continué à développer Telegram.