"Pour l'instant, des études préliminaires ont montré que nous travaillons avec des extraits de plantes qui présentent des activités anticancéreuses", poursuit ce doyen associé pour les STIM (sciences, technologies, ingénierie et mathématiques) et la recherche au Perimeter college de l'université d'État de Géorgie, aux États-Unis.
La recherche est menée conjointement avec l'université d'Addis-Abeba en Éthiopie et le Winship Cancer Center de l'université Emory (États-Unis), précise le média SciTechDaily.
Le projet comporte deux aspects importants, selon le professeur Binghe Wang, chercheur éminent de la Georgia Research Alliance.
"Le premier consiste à évaluer l'activité biologique de ces extraits ou composés purifiés, en commençant par des expériences de culture cellulaire. Dans notre étude de composés anticancéreux, nous recherchons ceux qui présentent une cytotoxicité puissante contre les cellules cancéreuses. Une fois l'activité confirmée, nous menons une série d'expériences spectroscopiques pour confirmer les structures des composés", a indiqué le chercheur.