"Je ne vois pas pourquoi ils ne se serviraient pas de subterfuges" afin de réaliser des opérations masquées pour des objectifs militaires, avance Nikola Mirkovic en citant l’exemple des Casques blancs.
"C'est possible […] à partir du moment où des pays membres de l'Otan ont déjà cautionné ça, soutenu ce type d'opérations masquées pour des objectifs militaires", selon lui.
S’"il y a forcément des humanitaires très sincères qui apportent juste de quoi manger, de quoi boire, de quoi se réchauffer aux Ukrainiens qui sont extrêmement pauvres", d’un autre côté "il est possible que certaines organisations ou certaines personnes au sein de certaines organisations jouent un double jeu et poursuivent des buts qui ne soient pas que humanitaires".