Le Président ukrainien fait montre d’un plaisir qui fait peur en lien avec le conflit en cours, selon le journal italien Il Fatto Quotidiano.
Sa rhétorique dure tient de la propagande de guerre qu’il a apprise auprès de l’Occident. Grâce à ses déclarations dramatiques retentissantes et à ses promesses de payer la victoire dans "les larmes et le sang", M.Zelensky s’est fait des alliés en Occident, mais a perdu sa propre armée.
"Il y a une note de désespoir dans l’annonce de Zelensky, un plaisir maussade et cynique. Et de l’hypocrisie. Selon lui, la victoire est certaine, mais il y aura de nombreuses pertes. Beaucoup d’Ukrainiens et d’Ukrainiennes mourront, beaucoup perdront leur maison, leur famille et leur avenir", commente le Fatto Quotidiano.
Confirmations du début de la contre-offensive
Samedi 10 juin, M.Zelensky a confirmé que l’Ukraine avait lancé la contre-offensive dont on a tant parlé.
"Des opérations de contre-offensive et défensives appropriées se produisent en Ukraine, à quel stade, je ne le dirai pas en détail. Je pense que nous allons certainement tous ressentir cela", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse commune avec le Premier ministre canadien Justin Trudeau à Kiev.
Un jour plus tôt, le début de la contre-offensive ukrainienne avait été évoqué par Vladimir Poutine.
Le Président russe a fait savoir que l’ennemi n’avait eu de succès nulle part.