"Ce sommet arrive à point nommé! Notre participation permettra à la partie centrafricaine de venir avec des propositions clés relatives à l'expression des besoins dans les secteurs cités, en ce qui concerne l'économie, la défense et la sécurité. Ce prochain sommet-là est un cadre d'échanges qui va sûrement permettre la signature de plusieurs accords pour l'enseignement supérieur et la recherche scientifique afin de régler nos attentes en faveur d'un partenariat pour la mobilité par exemple des étudiants, des enseignants-chercheurs, ainsi que le transfert de compétences. L'idéal serait en effet que les aspects diplomatiques, notamment la signature de différentes conventions, soient ficelés à l'occasion de ce sommet pour que nous puissions rapidement passer à leur mise en œuvre", estime-t-il.