"Avant que nos morts n'aient pu être inhumés [...] quelques unités de nos forces militaires, avec des sympathisants civils et politiques, mus par des motivations individualistes, subjectives et se prévalant de certaines frustrations et revendications qui devraient pouvoir trouver des solutions dans d'autres cadres de concertation, ont convergé de manière massive vers les zones sensibles. L'objectif affiché était clair: interrompre la transition", abonde-t-il.
Le coup d’État
"Le Togo, comme la Cédéao, salue le fait que l’esprit de paix l’ait emporté, l’accueil de M. Damiba fait partie de cet esprit", a déclaré Akoda Ayéwaodan, porte-parole du gouvernement togolais.
"Il n’y a pas de problème entre le colonel Damiba et moi. Ce n’est pas un problème personnel. Donc, on a même communiqué ce dimanche matin [le 2 octobre, ndlr]", a-t-il commenté.