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Du camp nazi à la Résistance: le destin héroïque des femmes du bataillon Rodina
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À l’occasion du 80e anniversaire de la victoire sur l’Allemagne nazie, Identités Africaines reçoit René Barchi pour raconter l’épopée du bataillon Rodina: 37... 08.05.2025, Sputnik Afrique
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Du camp nazi à la Résistance: le destin héroïque des femmes du bataillon Rodina
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À l’occasion du 80e anniversaire de la victoire sur l’Allemagne nazie, Identités Africaines reçoit René Barchi pour raconter l’épopée du bataillon Rodina: 37 femmes soviétiques évadées d’un camp de travail nazi, unies sous le commandement de Nadiejda Lissavietz pour accomplir des missions décisives au cœur du mouvement partisan.
René Barchi, fils de résistants communistes, partage l’épopée du printemps 1944: alors que la France est encore sous le joug nazi, 37 jeunes femmes soviétiques, choisies pour leur endurance, s’évadent du camp de travail d’Errouville et rejoignent les maquis de la Meuse. Organisées sous le nom de Rodina ("Patrie" en russe), elles forment le seul bataillon entièrement féminin de la Résistance, effectuant des missions de renseignement, sabotages et embuscades aux côtés des partisans.► Retrouvez tous les épisodes du podcast Identités Africaines.
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Du camp nazi à la Résistance: le destin héroïque des femmes du bataillon Rodina
À l’occasion du 80e anniversaire de la victoire sur l’Allemagne nazie, Identités Africaines reçoit René Barchi pour raconter l’épopée du bataillon Rodina: 37 femmes soviétiques évadées d’un camp de travail nazi, unies sous le commandement de Nadiejda Lissavietz pour accomplir des missions décisives au cœur du mouvement partisan.
René Barchi, fils de résistants communistes, partage l’épopée du printemps 1944: alors que la France est encore sous le joug nazi, 37 jeunes femmes soviétiques, choisies pour leur endurance, s’évadent du camp de travail d’Errouville et rejoignent les maquis de la Meuse. Organisées sous le nom de Rodina ("Patrie" en russe), elles forment le seul bataillon entièrement féminin de la Résistance, effectuant des missions de renseignement, sabotages et embuscades aux côtés des partisans.
"Elles ont fait du renseignement qui a été extrêmement efficace, en particulier lors de l'assaut d'une prison SS à Bar-le-Duc. Ils ont libéré 47 patriotes français et deux soviétiques, qui étaient destinés à être pendus le lendemain sur la place publique. Voilà, ça, c'était la première mission de renseignement, mais il y en a eu d'autres et c'est à chaque fois efficace, juste précis. [...] Et ensuite, devant leur détermination, ils commençaient à les emmener en opération réelle et de combat", raconte M.Barchi.
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