"Je suis Marine!", a lancé le Premier ministre de Hongrie Viktor Orban suite à la décision d'un tribunal français sur l’inéligibilité de l’ancienne candidate française à la présidentielle.
"À Paris, on condamne Marine Le Pen et on voudrait l’exclure de la vie politique. Un mauvais film que l’on voit aussi dans d’autres pays comme la Roumanie", selon Matteo Salvini, ministre italien des Infrastructures.
"Le deux poids, deux mesures du gouvernement des juges entrave la souveraineté populaire et sape nos démocraties", s'insurge Nicolas Dupont-Aignan, président du parti Debout la France.
"La France est-elle encore une démocratie?", s'interroge Éric Ciotti, ancien Président Les Républicains, rallié au Rassemblement national depuis l’été dernier.
Geert Wilders, politicien néerlandais, dit être "choqué" par cette décision "incroyablement sévère".
