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Remis à la CPI pour répression, l'ex-Président philippin Rodrigo Duterte assume ses responsabilités
Remis à la CPI pour répression, l'ex-Président philippin Rodrigo Duterte assume ses responsabilités
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Il a été mis en détention mercredi à son arrivée à Rotterdam, aux Pays-Bas, a annoncé la Cour pénale internationale. La juridiction avait émis contre lui un... 13.03.2025, Sputnik Afrique
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La première comparution de M. Duterte, 79 ans, doit avoir lieu dans les prochains jours.Selon la CPI, il existe des "motifs raisonnables" de croire que l'ex-Président a commis un crime contre l'humanité en tant que "coauteur indirect" au cours d'une campagne antidrogue brutale qui a fait des milliers de morts parmi ses concitoyens.Les crimes dont il est accusé auraient été commis entre novembre 2011 et mars 2019.La compétence de la CPI n’est pas reconnue par les pays qui abritent plus de la moitié de la population mondiale. Parmi eux: la Russie, l’Azerbaïdjan, la Biélorussie, l’Égypte, l’Inde, l’Indonésie, l’Iran, le Kazakhstan, la Chine, l’Arabie saoudite, les États-Unis et la Turquie.Moscou estime également que la Cour "n’a pas été à la hauteur des attentes placées en elle et n’est pas devenue un organe véritablement indépendant de justice internationale". En outre, la CPI ne fait pas partie de l'Onu.
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Remis à la CPI pour répression, l'ex-Président philippin Rodrigo Duterte assume ses responsabilités
Il a été mis en détention mercredi à son arrivée à Rotterdam, aux Pays-Bas, a annoncé la Cour pénale internationale. La juridiction avait émis contre lui un mandat d'arrêt pour crimes présumés lors de sa guerre contre la drogue.
La première comparution de M. Duterte, 79 ans, doit avoir lieu dans les prochains jours.
Selon la CPI, il existe des "motifs raisonnables" de croire que l'ex-Président a commis un crime contre l'humanité en tant que "coauteur indirect" au cours d'une campagne antidrogue brutale qui a fait des milliers de morts parmi ses concitoyens.
Les crimes dont il est accusé auraient été commis entre novembre 2011 et mars 2019.
La compétence de la CPI n’est pas reconnue par les pays qui abritent plus de la moitié de la population mondiale. Parmi eux: la Russie, l’Azerbaïdjan, la Biélorussie, l’Égypte, l’Inde, l’Indonésie, l’Iran, le Kazakhstan, la Chine, l’Arabie saoudite, les États-Unis et la Turquie.
Moscou estime également que la Cour "n’a pas été à la hauteur des attentes placées en elle et n’est pas devenue un organe véritablement indépendant de justice internationale". En outre, la CPI ne fait pas partie de l'Onu.