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Moscou attend une réaction de l'Unesco après l'attaque de Kiev contre des journalistes russes
Moscou attend une réaction de l'Unesco après l'attaque de Kiev contre des journalistes russes
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Le régime de Kiev jouit d'une "totale impunité" due à l'aveuglement d'organisations comme l'Unesco, a déclaré la porte-parole de la diplomatie russe, après... 05.01.2025, Sputnik Afrique
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L'attaque de drone ukrainienne qui a fait un mort et plusieurs blessés parmi les journalistes russes dans le Donbassest un nouveau "crime brutal dans une série d’atrocités sanglantes perpétrées par le régime de Zelensky", a déclaré Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères.Maria Zakharova a ainsi rappelé qu'Audrey Azoulay avait rédigé un rapport sur la sécurité des journalistes, excluant les statistiques concernant le sort des journalistes russes tués ou blessés ces dernières années."L'impunité totale" de Kiev découle l'attitude d'organisations comme le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH), l'Unesco ou l'OSCE, qui choisissent d'ignorer ses crimes, a ajouté la responsable.Le 4 janvier, une attaque ciblée de drone kamikaze a tué le correspondant indépendant du journal Izvestia Alexandre Martemianov et blessé quatre employés d’autres médias russes, dont deux de Sputnik. Les journalistes revenaient en voiture à Donetsk, après avoir filmé des bombardements de civils à Gorlovka. Le drone a ciblé leur véhicule loin de la ligne de contact.
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Moscou attend une réaction de l'Unesco après l'attaque de Kiev contre des journalistes russes
Le régime de Kiev jouit d'une "totale impunité" due à l'aveuglement d'organisations comme l'Unesco, a déclaré la porte-parole de la diplomatie russe, après l'attaque de drone ukrainienne qui a coûté la vie au journaliste russe Alexandre Martemianov.
L'attaque de drone ukrainienne qui a fait un mort et plusieurs blessés parmi les journalistes russes dans le Donbassest un nouveau "crime brutal dans une série d’atrocités sanglantes perpétrées par le régime de Zelensky", a déclaré Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères.
"Nous exigeons que cet énième assassinat brutal d'un correspondant de guerre russe reçoive une réaction appropriée de la part d'Audrey Azoulay, directrice de l'Unesco, comme le prescrit son mandat. Nous attendons une condamnation décisive de cette atrocité de la part de toutes les autres organisations de défense des droits de l'homme", a-t-elle indiqué.
Maria Zakharova a ainsi rappelé qu'Audrey Azoulay avait rédigé un rapport sur la sécurité des journalistes, excluant les statistiques concernant le sort des journalistes russes tués ou blessés ces dernières années.
"L'impunité totale" de Kiev découle l'attitude d'organisations comme le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH), l'Unesco ou l'OSCE, qui choisissent d'ignorer ses crimes, a ajouté la responsable.
"Il ne fait aucun doute que les professionnels des médias ont été consciemment choisis pour cibles de cette attaque meurtrière. Cela est également démontré par les témoignages des survivants", a-t-elle souligné.
Le 4 janvier, une attaque ciblée de drone kamikaze a tué le correspondant indépendant du journal Izvestia Alexandre Martemianov et blessé quatre employés d’autres médias russes, dont deux de Sputnik.
Les journalistes revenaient en voiture à Donetsk, après avoir filmé des bombardements de civils à Gorlovka. Le drone a ciblé leur véhicule loin de la ligne de contact.