https://fr.sputniknews.africa/20240530/la-croissance-du-pib-de-lafrique-saccelerera-en-2024-et-2025-selon-la-bad-1066810681.html
La croissance du PIB de l'Afrique s'accélérera en 2024 et 2025, selon la BAD
La croissance du PIB de l'Afrique s'accélérera en 2024 et 2025, selon la BAD
Sputnik Afrique
Elle passera ainsi à 3,7% et à 4,3% respectivement, contre 3,1% en 2023, a déclaré le président de la Banque africaine de développement à l'ouverture des... 30.05.2024, Sputnik Afrique
2024-05-30T18:58+0200
2024-05-30T18:58+0200
2024-05-30T18:58+0200
banque africaine de développement (bad)
afrique
pib
croissance économique
akinwumi adesina
https://cdn1.img.sputniknews.africa/img/07e8/05/1d/1066790318_0:0:3373:1898_1920x0_80_0_0_bd7615b4edf160ac521bb7eba390f807.jpg
Ce résultat est meilleur que ceux d'autres régions, mais des défis vont de pair avec cette performance, a noté Akinwumi Adesina. Parmi eux, le financement du développement et de la lutte contre le changement climatique qui a déjà causé de lourdes pertes dans plusieurs pays. Le continent est "mal servi pour le financement de l’action climatique", a-t-il ajouté en précisant que la cause réside en l’architecture financière mondiale.
afrique
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rosiya Segodnya“
2024
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rosiya Segodnya“
Actus
fr_FR
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rosiya Segodnya“
Sputnik Afrique
feedback.fr@sputniknews.com
+74956456601
MIA „Rosiya Segodnya“
banque africaine de développement (bad), afrique, pib, croissance économique, akinwumi adesina
banque africaine de développement (bad), afrique, pib, croissance économique, akinwumi adesina
La croissance du PIB de l'Afrique s'accélérera en 2024 et 2025, selon la BAD
Elle passera ainsi à 3,7% et à 4,3% respectivement, contre 3,1% en 2023, a déclaré le président de la Banque africaine de développement à l'ouverture des assemblées annuelles de l'institution.
Ce résultat est meilleur que ceux d'autres régions, mais des défis vont de pair avec cette performance, a noté Akinwumi Adesina. Parmi eux, le financement du développement et de la lutte contre le changement climatique qui a déjà causé de lourdes pertes dans plusieurs pays.
Le continent est "mal servi pour le financement de l’action climatique", a-t-il ajouté en précisant que la cause réside en l’architecture financière mondiale.
La réforme de cette dernière doit "répondre efficacement à l’augmentation des coûts budgétaires auxquels sont confrontés les pays (africains) pour accélérer leur développement", a-t-il estimé.
