La monnaie commune "ne fera que renforcer le lien au sein de l’AES"

© AFP 2023 OUSMANE MAKAVELIUn partisan de l'Alliance des États du Sahel (AES) tient une pancarte indiquant " À bas la CEDEAO, vive l'ASS " lors d'un rassemblement pour célébrer la sortie du Mali, du Burkina Faso et du Niger de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) à Bamako le 1er février 2024
Un partisan de l'Alliance des États du Sahel (AES) tient une pancarte indiquant  À bas la CEDEAO, vive l'ASS  lors d'un rassemblement pour célébrer la sortie du Mali, du Burkina Faso et du Niger de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) à Bamako le 1er février 2024 - Sputnik Afrique, 1920, 08.02.2024
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L’arrivée d’une telle devise aura bien lieu un jour, car les pays de l’Alliance ont les "moyens et les compétences", estime auprès de Sputnik Afrique Mme Nome Grace S. Essoh du Parti des peuples africains - Côte d’Ivoire.
"Le Burkina Faso, le Mali, le Niger sont trois grands pays qui comptent et qui sont importants en Afrique de l'Ouest, avec d'importantes ressources naturelles inexploitées, de vastes territoires et une population jeune, nombreuse, très courageuse et travailleuse", a-t-elle expliqué.
En outre, les pays sahéliens développent des liens avec de nouveaux partenaires et parmi eux la Russie, "un partenaire fiable et respectueux de leur souveraineté", rappelle la responsable du PPA-CI.
"L'exemple du Mali est très édifiant. Les Français sur leur territoire étaient censés combattre les terroristes, mais après dix ans, aucun résultat. La Russie vient en aide au Mali et en moins d'un an, le résultat est sous nos yeux, le résultat est excellent".
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