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"Fermez vos bouches": un espion israélien affirme qu’il fallait emprisonner les familles des otages
"Fermez vos bouches": un espion israélien affirme qu’il fallait emprisonner les familles des otages
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Un ancien espion israélien a affirmé que Tel Aviv ne s’était pas montré assez ferme avec les familles des otages et aurait même dû songer à les emprisonner... 25.11.2023, Sputnik Afrique
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Solution radicale. Tel Aviv aurait dû faire taire les familles des otages capturés par le Hamas, a déclaré Jonathan Pollard, ancien agent du renseignement américain finalement emprisonné pour espionnage au profit d'Israël.Il a ajouté que "l’emprisonnement de certains membres des familles des otages" aurait dû être envisagé, pour qu’ils ne soient pas "utilisés comme une arme" par la communauté internationale.L’ancien espion a par ailleurs critiqué la pose d’affiches montrant des photos des otages, lesquelles ont fleuri dans plusieurs villes occidentales. Chacun de ces portraits a agi comme une "fléchette empoisonnée" sur l’opinion, a déclaré Jonathan Pollard.Plusieurs libérationsLe Hamas avait fait prisonnier plusieurs civils, lors de son opération Déluge d’Al-Aqsa, le 7 octobre dernier. Ramenés à Gaza, leur sort reste l’un des principaux enjeux du conflit. Des accords ont d’ailleurs été récemment conclus, qui prévoient la libération d’une cinquantaine d’entre eux en échange d’une trêve de 4 jours.Le Président russe a salué ce geste, qui constitue selon lui "un pas dans la bonne direction". Dès le début des hostilités, Moscou a plaidé pour la libération des otages, en faisant l’un des axes forts de sa politique sur Gaza, avec l’établissement de couloirs humanitaires et la recherche d’une trêve.
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"Fermez vos bouches": un espion israélien affirme qu’il fallait emprisonner les familles des otages
Un ancien espion israélien a affirmé que Tel Aviv ne s’était pas montré assez ferme avec les familles des otages et aurait même dû songer à les emprisonner, pour qu’elles n’influent pas sur le cours du conflit.
Solution radicale. Tel Aviv aurait dû faire taire les familles des otages capturés par le Hamas, a déclaré Jonathan Pollard, ancien agent du renseignement américain finalement emprisonné pour espionnage au profit d'Israël.
"La première chose que le gouvernement aurait dû faire c’est déclarer l'état d'urgence et dire à tous les otages: +Fermez vos bouchesou nous les fermerons pour vous. Vous n’allez pas interférer dans cette guerre+", a ainsi affirmé l’agent double dans un entretien avec le rabbin David Bar-Hayim.
Il a ajouté que "l’emprisonnement de certains membres des familles des otages" aurait dû être envisagé, pour qu’ils ne soient pas "utilisés comme une arme" par la communauté internationale.
L’ancien espion a par ailleurs critiqué la pose d’affiches montrant des photos des otages, lesquelles ont fleuri dans plusieurs villes occidentales. Chacun de ces portraits a agi comme une "fléchette empoisonnée" sur l’opinion, a déclaré Jonathan Pollard.
Le Hamas avait fait prisonnier plusieurs civils, lors de son opération Déluge d’Al-Aqsa, le 7 octobre dernier. Ramenés à Gaza, leur sort reste l’un des principaux enjeux du conflit. Des accords ont d’ailleurs été récemment conclus, qui
prévoient la libération d’une cinquantaine d’entre eux en échange d’une trêve de 4 jours.
Le Président russe a salué ce geste, qui constitue
selon lui "un pas dans la bonne direction". Dès le début des hostilités, Moscou a plaidé pour la libération des otages, en faisant l’un des axes forts de sa politique sur Gaza, avec l’établissement de couloirs humanitaires et la recherche d’une trêve.