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L'armée soudanaise utiliserait des drones-kamikazes contre les Forces de soutien rapide - vidéos
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Une première au Soudan. Les forces armées utiliseraient désormais des drones-kamikaze FPV contre les paramilitaires des Forces de soutien rapide, alors que la... 15.09.2023, Sputnik Afrique
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Au Soudan, pays en proie aux affrontements, l'armée a commencé à utiliser des drones-kamikazes contre les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR). Les FPV (de l'anglais first person view) sont largement utilisés dans le conflit militaire entre la Russie et l'Ukraine.Conflit au SoudanDepuis le 15 avril dernier, les combats font rage au Soudan entre les FSR, sous le commandement de Mohamed Hamdan Dogolo, et les forces armées nationales. Les parties échangent des déclarations contradictoires sur les succès des opérations militaires, après avoir lancé une guerre de l'information à grande échelle dans les médias et sur les réseaux sociaux. Fin juillet, les parties au conflit ont stoppé les négociations qui se déroulaient depuis mai à Djeddah.Les multiples tentatives internationales de médiation ont jusqu'ici échoué à établir une trêve durable.Plus de 3,4 millions de personnes sont déplacées à l'intérieur du Soudan, selon l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) de l’Onu. Ce alors que plus d'un million ont fui le pays. Le Comité international de la Croix-Rouge a déclaré que ces mois de combats pourraient entraîner des épidémies et un effondrement du système de santé.
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Une première au Soudan. Les forces armées utiliseraient désormais des drones-kamikaze FPV contre les paramilitaires des Forces de soutien rapide, alors que la guerre civile ravage depuis cinq mois le pays.
Au Soudan, pays en proie aux affrontements, l'armée a commencé à utiliser des drones-kamikazes contre les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR). Les FPV (de l'anglais first person view) sont largement utilisés dans le conflit militaire entre la Russie et l'Ukraine.
Depuis le 15 avril dernier, les combats font rage au Soudan entre les FSR, sous le commandement de Mohamed Hamdan Dogolo, et les forces armées nationales. Les parties échangent des déclarations contradictoires sur les succès des opérations militaires, après avoir lancé une guerre de l'information à grande échelle dans les médias et sur les réseaux sociaux. Fin juillet, les parties au conflit ont stoppé les négociations qui se déroulaient depuis mai à Djeddah.
Les multiples tentatives internationales de médiation ont jusqu'ici échoué à établir une trêve durable.
Plus de 3,4 millions de personnes sont déplacées à l'intérieur du
Soudan, selon l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) de l’Onu. Ce alors que plus d'un million ont fui le pays. Le Comité international de la Croix-Rouge a déclaré que ces mois de combats pourraient entraîner des épidémies et un effondrement du système de santé.