Le 26 décembre, le chef de la diplomatie ukrainienne a proposé la tenue d'un "sommet de la paix" aux Nations unies d'ici fin février, avec le secrétaire général de l'Onu comme éventuel médiateur.
Dans le même temps, Kiev a déclaré que la Russie ne devrait être invitée aux négociations qu'après un "tribunal international nécessaire".
Un "sommet de la paix" sans la participation de la Russie est impossible, a déclaré à son tour Dmitri Polianski, premier représentant adjoint russe auprès de l'Onu, commentant les propos du ministre ukrainien des Affaires étrangères.