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"Tout le monde a compris que c’était un candidat": Bertrand tacle Macron
"Tout le monde a compris que c’était un candidat": Bertrand tacle Macron
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À quelques mois de l’élection présidentielle, le chef de l’État poursuit son tour de l’Hexagone, sans pourtant être candidat. Indigné, Xavier Bertrand a... 03.02.2022, Sputnik Afrique
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Emmanuel Macron tarde à annoncer sa candidature ce qui indigne l'opposition. Alors que le chef de l’État était le 2 février en déplacement au Louvre-Lens, le président de la région Hauts-de-France n'a pas manqué de lui lancer une pique.Au micro de BFM TV, Xavier Bertrand a indiqué que «tout le monde [avait, ndlr] compris que c’était un candidat qui parlait», fustigeant une «hypocrisie».En poursuivant, M.Bertrand a lancé qu’«un déplacement électoral n’a pas à être pris en charge par la République, certainement pas» et a ajouté qu’«il est temps que cette hypocrisie cesse».«De quoi a-t-il peur?», s’est indigné le président de la région Hauts-de-France, avant de supposer:Des «pics» à dépasserDe son côté, le Président, qui début janvier avait déjà exprimé son «envie» d’être candidat à l’élection, a expliqué le 1er février dans une interview accordée à la Voix du Nord que le temps de sa candidature n’était pas encore venu.Ainsi, Emmanuel Macron a indiqué vouloir d’abord attendre que soient dépassés «la phase aiguë de l'épidémie et le pic de la crise géopolitique», ajoutant qu'il espérait alléger le protocole scolaire après les vacances de février.«J'ai d'abord l'obsession que la phase aiguë de l'épidémie et le pic de la crise géopolitique actuelle soient derrière nous», a-t-il justifié.
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"Tout le monde a compris que c’était un candidat": Bertrand tacle Macron
À quelques mois de l’élection présidentielle, le chef de l’État poursuit son tour de l’Hexagone, sans pourtant être candidat. Indigné, Xavier Bertrand a souligné la nécessité de mettre un terme à "cette hypocrisie".
Emmanuel Macron tarde à annoncer sa candidature ce qui indigne l'opposition. Alors que le chef de l’État était le 2 février en déplacement au Louvre-Lens, le président de la région Hauts-de-France n'a pas manqué de lui lancer une pique.
Au micro de BFM TV, Xavier Bertrand a indiqué que «tout le monde [avait, ndlr] compris que c’était un candidat qui parlait», fustigeant une «hypocrisie».
En poursuivant, M.Bertrand a lancé qu’«un déplacement électoral n’a pas à être pris en charge par la République, certainement pas» et a ajouté qu’«il est temps que cette hypocrisie cesse».
«De quoi a-t-il peur?», s’est indigné le président de la région Hauts-de-France, avant de supposer:
«Je crois qu'il a peur de la colère qui continue à monter dans le pays, et dont il est responsable».
De son côté, le Président, qui début janvier avait déjà exprimé
son «envie» d’être candidat à l’élection, a expliqué le 1er février dans une interview accordée à la Voix du Nord que le temps de sa candidature n’était pas encore venu.
Ainsi, Emmanuel Macron a indiqué vouloir d’abord attendre que soient dépassés «la phase aiguë de l'épidémie et le pic de la crise géopolitique», ajoutant qu'il espérait alléger le protocole scolaire après les vacances de février.
«J'ai d'abord l'obsession que la phase aiguë de l'épidémie et le pic de la crise géopolitique actuelle soient derrière nous», a-t-il justifié.
«Je ne peux pas raisonnablement expliquer aux Français que je vais m'adonner à ce temps démocratique important, alors que je leur ai dit que je serai Président jusqu'au bout et que nous avons une crise à la frontière ukrainienne qui menace notre sécurité collective», a conclu le chef de l’État.