Après avoir volé les pompiers, il menace de mort Jean-Michel Blanquer – vidéos

© Photo Pixabay / geraltUne voiture de police (image d'illustration)
Une voiture de police (image d'illustration) - Sputnik Afrique, 1920, 07.10.2021
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Moins d’une semaine après avoir été libéré de garde à vue, l’individu qui avait adressé des menaces de mort aux forces de l’ordre et commis des vols de matériel des sapeurs-pompiers s’y retrouve de nouveau. Cette fois, il a insulté et menacé de mort Jean-Michel Blanquer.
Le jeune individu qui s’était filmé alors qu’il dérobait du matériel dans un camion de sapeurs-pompiers à Ablon-sur-Seine, dans le Val-de-Marne, et a insulté et menacé les forces de l’ordre en faisant l’apologie du terrorisme, a de nouveau été interpellé le 6 octobre, moins d’une semaine après son premier placement en garde à vue, relate Actu17.
Selon le média, après avoir fait le buzz sur les réseaux sociaux avec ses vidéos et s’être vu infliger un stage de citoyenneté en guise de sanction pénale, cet individu de 20 ans a été placé en garde à vue le 6 octobre au commissariat de Juvisy-sur-Orge, dans l’Essonne, pour des menaces de mort à l’encontre du ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer.
Les propos concernés ont été prononcés par l’accusé dans une séquence diffusée sur son Snapchat.
"Là on arrive, vous allez voir! Nique sa mère à Blanquer et à l’Éducation nationale, bande de fils de putes! J’ai raté le bac!", a-t-il lancé sur sa vidéo relayée sur Twitter.
Actu17 indique que le mis en cause devrait être interrogé ce jeudi 7 octobre.

Matériels dérobés et menaces de mort

Ce n’est pas la première fois que cet individu attire l’attention avec ses vidéos sur les réseaux sociaux. Auparavant, il s’était filmé à proximité d’une école d’Ablon-sur-Seine, dans le Val-de-Marne, alors qu’il avait pénétré dans le véhicule de pompiers qui étaient en intervention. Le malfaiteur s’est montré en train de voler du matériel.
De plus, ce jeune homme apparaît également dans une autre séquence où il menace de mort les forces de l’ordre en faisant l’apologie du terrorisme.
Mais lorsqu’il avait été arrêté, il avait déclaré que les séquences mentionnées n’étaient qu’une "blague qui a été mal prise".
Après les premiers incidents, Jérôme Jimenez, délégué du syndicat UNSA Police, interrogé le 4 octobre par CNews, a dit que de tels faits devraient être punissables d’emprisonnement ferme ou d’une amende importante.
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