Dans un «Portrait de la semaine» de «Sept à huit», l’épouse du rockeur de renom disparu Johnny Halliday a annoncé avoir pu de nouveau apprendre à aimer, même si cela n’était pas facile.
Après «trois années difficiles, un deuil compliqué, un deuil vertigineux», Laeticia Hallyday confie aller bien. Tous ses repères ayant été perdus avec le départ de son époux en décembre 2017, elle «avance un pas après l’autre» à l’aide de ses filles et d’un nouveau conjoint depuis récemment.
«J’ai eu beaucoup de mal au départ. C’est très difficile d’apprendre à aimer. On a l’impression de tromper son mari, on a l’impression qu’on ne pourra pas aimer, qu’on ne sera pas capable d’aimer à nouveau, qu’un autre homme vous touche, que vous puissiez ouvrir votre cœur à un autre homme», a confié sur TF1 la veuve de la légende de la musique française.
« J’arrive à aimer différemment. Mais Johnny est toujours là…»
— Sept à Huit (@7a8) October 18, 2020
Ses filles, ce nouvel amour qu’elle s’autorise, la question de l'héritage : #LæticiaHallyday se confie en exclusivité dans le « Portrait de la Semaine » d'@audrey_crespo.
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«Le manque reste abyssal»
Laeticia Hallyday a estimé que dans les cas comme le sien, «on a toujours la tendance à comparer, alors qu’il ne faut pas le faire»:
«Ça paraît tellement compliqué, c’est vertigineux, parce que le manque reste abyssal», confie-t-elle.
Et de reconnaître:
«C’est courageux pour un homme d’être dans ma vie aujourd’hui», puisque «la place de Johnny est encore bien présente. Ce n’est pas facile. On est souvent un couple à trois».
Bataille pour l’héritage du rockeur
L’avocat de David Hallyday a déclaré le 31 juillet que ce dernier avait renoncé à la succession de son père, alors que l'héritage de l’interprète d’«Allumer le feu» était au cœur d'une longue bataille entre sa veuve et ses aînés Laura Smet et David Hallyday.
L'avocat de Laeticia Hallyday avait annoncé le 3 juillet la conclusion d'un «accord définitif» entre la veuve de Johnny et Laura Smet, qui avait la première saisi la justice pour contester le testament de son père rédigé aux États-Unis. Cet accord, dont les détails n'avaient pas été dévoilés, a mis fin à plus de deux ans de procédure devant les tribunaux.