Découvrez dans ce diaporama réalisé par Sputnik des images de ces oiseaux qui risquent de disparaître à tout jamais dans peu de temps.
© REUTERS / Ueslei MarcelinoD’après les scientifiques qui ont pris part à une expédition de Greenpeace, le nombre de manchots a diminué de 60 à 77 %, selon les colonies, au cours des 50 dernières années.
Sur la photo: manchots à jugulaire sur un iceberg dérivant dans le chenal Lemaire.
Sur la photo: manchots à jugulaire sur un iceberg dérivant dans le chenal Lemaire.
D’après les scientifiques qui ont pris part à une expédition de Greenpeace, le nombre de manchots a diminué de 60 à 77 %, selon les colonies, au cours des 50 dernières années.
Sur la photo: manchots à jugulaire sur un iceberg dérivant dans le chenal Lemaire.
Sur la photo: manchots à jugulaire sur un iceberg dérivant dans le chenal Lemaire.
© REUTERS / Ueslei Marcelino Sur l’île de l’Éléphant, les chercheurs n’ont dénombré que 52. 786 couples. C’est 58% de moins qu’en 1971.
Sur la photo: colonie de manchots papous en Antarctique.
Sur la photo: colonie de manchots papous en Antarctique.
Sur l’île de l’Éléphant, les chercheurs n’ont dénombré que 52. 786 couples. C’est 58% de moins qu’en 1971.
Sur la photo: colonie de manchots papous en Antarctique.
Sur la photo: colonie de manchots papous en Antarctique.
© REUTERS / Ueslei Marcelino Scientifiques en mission à la station argentine Esperanza près du chenal Lemaire.
Scientifiques en mission à la station argentine Esperanza près du chenal Lemaire.
© REUTERS / Ueslei Marcelino Le chercheur Steve Forrest compte les manchots de la colonie installée sur l’île Anvers.
Le chercheur Steve Forrest compte les manchots de la colonie installée sur l’île Anvers.
© REUTERS / Ueslei Marcelino De l’avis des scientifiques, cette forte réduction des populations de manchots s’explique par des changements importants dans leur écosystème.
De l’avis des scientifiques, cette forte réduction des populations de manchots s’explique par des changements importants dans leur écosystème.
© REUTERS / Ueslei Marcelino Groupe de manchots sur à la pointe Quentin de l’île d’Anvers.
Groupe de manchots sur à la pointe Quentin de l’île d’Anvers.
© REUTERS / Ueslei MarcelinoPhoque sur une hauteur de l’île Snow Hill.
Phoque sur une hauteur de l’île Snow Hill.
© REUTERS / Ueslei MarcelinoLa cause principale des changements de l’écosystème antarctique est le réchauffement climatique.
Sur la photo: colonie de manchots à jugulaire sur l’île Two Hummock.
Sur la photo: colonie de manchots à jugulaire sur l’île Two Hummock.
La cause principale des changements de l’écosystème antarctique est le réchauffement climatique.
Sur la photo: colonie de manchots à jugulaire sur l’île Two Hummock.
Sur la photo: colonie de manchots à jugulaire sur l’île Two Hummock.
© REUTERS / Ueslei MarcelinoManchot à jugulaire sur l’île Snow Hill.
Manchot à jugulaire sur l’île Snow Hill.
© REUTERS / Ueslei MarcelinoLe chercheur Michael Wethington ramasse des ordures sur l’île Snow Hill.
Le chercheur Michael Wethington ramasse des ordures sur l’île Snow Hill.
© REUTERS / Ueslei MarcelinoAu cours des dernières années, la température moyenne en hiver dans l’Antarctique a augmenté de 5 degrés.
Sur la photo: manchots à jugulaire près de l’île Two Hummock.
Sur la photo: manchots à jugulaire près de l’île Two Hummock.
Au cours des dernières années, la température moyenne en hiver dans l’Antarctique a augmenté de 5 degrés.
Sur la photo: manchots à jugulaire près de l’île Two Hummock.
Sur la photo: manchots à jugulaire près de l’île Two Hummock.
© REUTERS / Ueslei MarcelinoLe 9 février, pour la première fois en Antarctique, on a relevé une température supérieure à +20° C.
Sur la photo: phoque nageant près de la pointe Quentin de l’île Anvers.
Sur la photo: phoque nageant près de la pointe Quentin de l’île Anvers.
Le 9 février, pour la première fois en Antarctique, on a relevé une température supérieure à +20° C.
Sur la photo: phoque nageant près de la pointe Quentin de l’île Anvers.
Sur la photo: phoque nageant près de la pointe Quentin de l’île Anvers.
© REUTERS / Ueslei Marcelino Le chercheur Steve Forrest compte les manchots de la colonie installée sur l’île Anvers.
Le chercheur Steve Forrest compte les manchots de la colonie installée sur l’île Anvers.
© REUTERS / Ueslei Marcelino Pour se reproduire et vivre normalement, les manchots ont besoin de la banquise dont la superficie ne cesse de diminuer.
Sur la photo: manchot à jugulaire sur l’île Snow Hill.
Sur la photo: manchot à jugulaire sur l’île Snow Hill.
Pour se reproduire et vivre normalement, les manchots ont besoin de la banquise dont la superficie ne cesse de diminuer.
Sur la photo: manchot à jugulaire sur l’île Snow Hill.
Sur la photo: manchot à jugulaire sur l’île Snow Hill.
© REUTERS / Ueslei Marcelino Qui plus est, les chaînes alimentaires sont perturbées à cause de la disparition du krill dont se nourrissent les manchots.
Sur la photo: le chercheur Michael Wethington ramasse des ordures sur l’île Snow Hill.
Sur la photo: le chercheur Michael Wethington ramasse des ordures sur l’île Snow Hill.
Qui plus est, les chaînes alimentaires sont perturbées à cause de la disparition du krill dont se nourrissent les manchots.
Sur la photo: le chercheur Michael Wethington ramasse des ordures sur l’île Snow Hill.
Sur la photo: le chercheur Michael Wethington ramasse des ordures sur l’île Snow Hill.
© REUTERS / Ueslei Marcelino Les manchots ne sont pas les seuls à ressentir les effets nuisibles du changement climatique.
Sur la photo: phoque sur l’île Snow Hill.
Sur la photo: phoque sur l’île Snow Hill.
Les manchots ne sont pas les seuls à ressentir les effets nuisibles du changement climatique.
Sur la photo: phoque sur l’île Snow Hill.
Sur la photo: phoque sur l’île Snow Hill.
© REUTERS / Ueslei Marcelino La deuxième plus grande colonie de manchots empereurs a disparu en 2016. Plus tard, il a été établi grâce à des photos satellite que la glace avait fondu à cause d’une brusque élévation de la température, ce qui avait entraîné la mort de près de 20.000 oiselets. La colonie s’est ensuite éteinte.
Sur la photo: colonie de manchots sur Two Hummock Island.
Sur la photo: colonie de manchots sur Two Hummock Island.
La deuxième plus grande colonie de manchots empereurs a disparu en 2016. Plus tard, il a été établi grâce à des photos satellite que la glace avait fondu à cause d’une brusque élévation de la température, ce qui avait entraîné la mort de près de 20.000 oiselets. La colonie s’est ensuite éteinte.
Sur la photo: colonie de manchots sur Two Hummock Island.
Sur la photo: colonie de manchots sur Two Hummock Island.
© REUTERS / Ueslei Marcelino Les scientifiques proposent d’aménager en Antarctique un réseau de sites marins qui occuperaient 35% du territoire de l’océan Austral.
Sur la photo: colonie de manchots à jugulaire sur l’île Snow Hill.
Sur la photo: colonie de manchots à jugulaire sur l’île Snow Hill.
Les scientifiques proposent d’aménager en Antarctique un réseau de sites marins qui occuperaient 35% du territoire de l’océan Austral.
Sur la photo: colonie de manchots à jugulaire sur l’île Snow Hill.
Sur la photo: colonie de manchots à jugulaire sur l’île Snow Hill.