Un soda light plonge une femme dans le coma

© Sputnik . Pavel Lysizin / Accéder à la base multimédiaDes bouteilles de Pepsi
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Victime d’une allergie rare aux édulcorants artificiels, une jeune Britannique a failli mourir après avoir bu un soda light apporté par le serveur d’un café au lieu d’une boisson sucrée.

Une jeune Britannique a fait trois jours de coma après avoir été victime d’une violente allergie à l’aspartame présent dans de nombreuses boissons allégées. C’est le serveur d’un bar qui lui a apporté un Pepsi Max, à l’édulcorant artificiel, au lieu d’un Pepsi normal, a raconté le Daily Mail.

«J'avais demandé au serveur un Pepsi et souligné qu’il devait être au sucre, a-t-elle raconté au journal. Mais une fois que j'ai avalé ma première gorgée, j'ai tout de suite senti un goût étrange et j’ai vu arriver les effets habituels.»

Une seule gorgée a suffi à la femme pour sombrer dans le coma durant trois jours. Tout comme ses deux fils, elle souffre d'une allergie aux édulcorants artificiels présents aujourd’hui dans un grand nombre de produits, notamment les boissons gazeuses.

La taxe soda

Cette mère de famille, Elizabeth Perkins, a expliqué avoir été victime de vertiges avant de s'évanouir et d'être conduite aux urgences.

«Je suis presque morte […]. Nous n'avons pas les enzymes nécessaires pour décomposer les édulcorants. C'est donc un poison instantané», a-t-elle souligné.

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Et la boisson la plus dangereuse pour notre santé est…
Elle a affirmé que la taxe soda instaurée au Royaume-Uni sur les aliments et boissons en fonction de leur quantité de sucre avait transformé la vie de sa famille en enfer, car elle a dû renoncer à acheter de nombreux produits dans les magasins pour en réaliser certains chez elle, par exemple, les yaourts.

«Je ne pense pas que les gens réalisent à quel point la situation a changé, car depuis l’introduction de la taxe soda, de moins en moins d'endroits servent des boissons au sucre», a-t-elle ajouté.

«Certains vous apportent automatiquement les versions à faible teneur en sucre ou sans sucre, mais pour moi, cette erreur aurait pu être fatale», a-t-elle fait remarquer pour conclure.

Mais la propagation de l’aspartame ne se limite pas uniquement aux cafés et restaurants. La jeune mère se heurte également à d’importantes difficultés pour soigner ses deux fils, car de plus en plus de laboratoires préfèrent l’édulcorant au sucre pour leurs produits.

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