Après que l'atmosphère s'est brusquement échauffée lors de la marche pour le climat à Paris, les organisations faisant partie des organisateurs de la marche pour le climat, Greenpeace et Youth For Climate, ont appelé les manifestants à quitter le cortège.
🔴Des violences (pas par manifestants climat) ont éclaté en début de cortège. Suite à grenades lacrymo la #MarcheClimat a stoppé
— Greenpeace France (@greenpeacefr) September 21, 2019
1⃣ Le bas du cortège marche vers St Michel
2⃣ CRS empêchent manifestants non violents du haut de la marche de quitter le cortège #MobilisationGenerale
🔴Ne prenez aucun risque et quittez la #MarchePourLeClimat #Paris
— Greenpeace France (@greenpeacefr) September 21, 2019
Les conditions d'une marche non violente ne sont pas réunies
Nous dénonçons l'envoi de lacrymogènes sur des manifestants non violents et des familles #MobilisationGenerale #MarcheClimat
Précédemment, les premières «exactions» de black blocs ont été commises, a annoncé la préfecture de police. La police a constaté la présence de 1.000 manifestants «radicaux» au total dans le cortège.
Les autorités craignant un retour des violences, quelque 7.500 forces de l'ordre et militaires devaient être déployés, un ordre de dimensions équivalentes à celui du 1er-Mai dernier, d’après le préfet. Plusieurs établissements ont été fermés, dont l'Arc de Triomphe et le Grand Palais. Emmanuel Macron a formulé un «appel au calme» en prévision des manifestations des Gilets jaunes qui coïncideraient avec les Journées du patrimoine.