Après son hommage à l’Algérie, le rappeur égyptien Khalid Gad chante la paix et la beauté de la Tunisie - vidéos

© Sputnik . Safwene GriraÀ Tunis, des Algériens manifestent contre un 5ème mandat d’Abdelaziz Bouteflika
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En moins d’un mois, le rappeur égyptien Khalid Gad a signé deux chansons accompagnées de clips en hommage à l’Algérie, le 21 juin, et à la Tunisie, le 7 juillet. Dans ces morceaux, l’artiste évoque la beauté des deux pays mais aussi la soif et la lutte pacifique de leurs peuples pour la liberté.

Le rappeur égyptien Khalid Gad dédie une deuxième chanson à un autre pays maghrébin. Après l’hommage rendu à la révolution populaire pacifique des Algériens dans son clip «Viva l’Algérie», il chante cette fois pour la Tunisie, le pays du jasmin qu’il dit aimer sincèrement.

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Sa chanson est intitulée «Asslema» (bienvenue), qui n’est autre que le salut populaire tunisien. Les paroles mettent en avant la beauté de ce pays et de ses paysages, la bonté de son peuple et sa lutte pour faire régner la paix et la liberté.

Sur ce registre, Khalid Gad rappelle que les Tunisiens ont été les premiers à avoir allumé l’étincelle du printemps arabe et à avoir réussi leur révolution pacifiquement: «la voix de la liberté illumine, depuis, chaque quartier, et malgré leurs différences, ils restent unis pour la justice». «Ô peuple de la harissa, j’arrive le cœur battant, pour ce pays que j’aime de Bizerte à Ben Guerdane», chante-t-il encore.

Le clip comprend des séquences montrant les paysages tunisiens, de la verdure des champs aux dunes du Sahara en passant par les souks des médinas.

L’Algérie chantée avec les couleurs de sa révolution pacifique

Auparavant, il avait chanté «Viva l’Algérie», un hommage rendu à cette nation et à ses habitants dans le contexte de la révolution pacifique du 22 février, saluée partout dans le monde. 

Le drapeau algérien entre les mains, Khalid Gad débute par la première strophe de l’hymne national avant de glorifier en dialecte algérien le pays du million et demi de martyrs, mentionnant les affres de la décennie noire et, enfin, la liberté que réclame aujourd’hui le peuple.

Né en Allemagne, Khalid Gad avait lancé en 2017 le programme «Sadeem», une compétition dédiée à la créativité numérique sur les réseaux sociaux dans le monde arabe.

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